BlogsLa Thyroïde

L’hypothyroïdie, un diagnostic sous-estimé; Partie 1: Symptômes, signes cliniques et examens biologiques

Selon l’association américaine des endocrinologues, 27 millions d’Américains souffrent de dysfonctionnement de la thyroïde, dont la moitié n’est pas diagnostiquée. La majorité des cas d’hypothyroïdie est due à la thyroïdite d’Hashimoto, alors que dans les pays en voie de développement, la cause principale est due à une carence en iode. En cas d’hypothyroïdie, la substitution en hormones thyroïdiennes reste la stratégie principale du corps médical, sans tenir compte des causes qui ont favorisé le problème. Pourtant, on sait que de nombreux facteurs peuvent perturber la thyroïde et que, d’autre part, les mécanismes de transformation des hormones thyroïdiennes dans le corps ne sont pas pris en compte par la médecine actuelle. C’est pourquoi souvent le fait de donner des hormones ne suffit pas à calmer les symptômes, car on ne tient pas compte de la relation complexe de la glande avec l’ensemble du corps. De plus, de nombreux cas d’hypothyroïdie cliniques ne sont pas diagnostiqués par les tests sanguins habituels et nous verrons pourquoi. Avant de comprendre cela, un peu d’explications sur la fonction de la thyroïde reste nécessaire.

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Allergies alimentaires et microbiote : la prochaine révolution en pédiatrie.

L’allergie alimentaire est une pathologie fréquente touchant approximativement 8% des enfants. On assiste ces 20 dernières années à une forte augmentation de ce type d’allergie. De nombreux chercheurs suggèrent qu’il existe une forte relation avec notre environnement. Les études médicales ont ainsi incriminé entre autres, le mode d’accouchement (césarienne), l’absence d’allaitement, une alimentation inadaptée ou la prise d’antibiotiques dans les premières années de vie. Le dénominateur commun de tous ces constats, c’est le microbiote, car tous ces facteurs ont démontré qu’ils modifiaient la composition bactérienne de notre flore intestinale. On sait que les communautés microbiennes du microbiote joue un rôle crucial dans l’installation de la tolérance orale et qu’une flore saine est nécessaire pour le développement et la maturation de notre système immunitaire.

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Comment éviter le déclin cognitif et booster son cerveau : Partie 2

Avons-nous besoin de compléments alimentaires pour protéger ou booster notre cerveau ? La réponse est affirmative, car notre environnement a changé. La vie est plus stressante, l’alimentation s’est appauvrie en vitamines, d’innombrables produits chimiques nous agressent quotidiennement. La bonne nouvelle est qu’il existe divers micronutriments dans la nature qui peuvent réellement contribuer à protéger et à booster notre cerveau.

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Comment éviter le déclin cognitif et booster son cerveau : Partie 1

Le déclin cognitif débute, selon les experts, vers l’âge de 45 ans, Au début les personnes décrivent des difficultés de mémoire ou d’attention. Les connaissances anciennes, ou acquises au fil des années, sont plus longtemps préservées. Le déclin cognitif n’est pas une conséquence inévitable du vieillissement, bien qu’il soit fréquent chez les personnes âgées. Selon une étude sur la santé et le vieillissement au Canada, environ 17 % des Canadiens de 65 ans présentaient un déficit cognitif…..
…..Dès lors, on peut comprendre l’intérêt d’agir le plus possible en amont et de réduire dès que possible le déclin cognitif à son début. L’intérêt de cet article est de comprendre comment des modifications précoces de notre mode de vie et de notre alimentation peuvent nous aider à réduire le déclin cognitif et à réduire le risque de démence. De plus, nous verrons qu’il existe des stratégies micro-nutritionnelles pour protéger nos neurones et booster notre cerveau. En fin d’article, un programme santé du cerveau sera proposé sur la base des dernières avancées de la science.

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